-A +A

2021/2022 Genre, violence politique et régimes d’exception

Coordonné par Estelle Miramond et Belén Rojas

15 novembre : Reconceptualiser les violences politiques

Aborder la violence politique au prisme de l’expérience combattante féminine.  Enjeux épistémologiques et empiriques

Camille Boutron (IRSEM)

L’invisibilisation du rôle des femmes dans la violence politique au Pays basque :  le déni de leur subjectivité et de leur agentivité 

Isabelle Lacroix (INJEP)

 

13 décembre : Genre, dictature et transition

L’« approche genre » de la justice transitionnelle : une politique globale  de la subalternité

Selima Kebaili (Université de Lausanne)

Archéologie des discours contre les violences de genre dans les sociétés postdictoriales: le cas de l’Espagne et du Chili 

Anne-Claire Sanz-Gavillon (Université de Rouen-Normandie)

 

17 janvier : Militarisme et rapport sociaux de sexe

Le genre du suicide : comprendre les morts volontaires des appelés grecs sous le prisme des institutions totalitaires et des rapports sociaux de sexe

Angeliki Drongiti (MRTE)

Étudier la militarisation en contexte de mission de paix : hiérarchisations et (re)production d’altérité dans le cas de la MINUSMA

Vanessa Gauthier Vela (IHEID)

 

14 février : L’état dans le continuum des violences de genre

(en distanciel)

Mères contre la violence d’État. Genre et approches critiques à la militarisation et aux politiques de sécurité brésiliennes

Izadora Xavier (Freie Universität Berlin)

De la police des violences domestiques à la violence dictatoriale.  Nicaragua (1993-2021)

Delphine Lacombe (CNRS-URMIS)

 

7 mars : Penser l’intersectionalité, agir contre l’islamophobie

De « l’islamophobie spatialisée » aux espaces de violence genrés

Kawtar Najib (Newcastle University)

Se mobiliser contre les violences faites aux femmes musulmanes.  Pratiques politiques d’un collectif intersectionnel en Suisse

Lucia Direnberger (CNRS, LEGS) et Ines El-Shikh (Foulards Violets)

 

4 avril : Mémoires des violences et des luttes

Violence post-révolutionnaire en Iran : transmettre la mémoire au féminin, écrire l’histoire au masculin ?

Chowra Makaremi (CNRS-IRIS)

Les voix queer d’une mémoire tue au creux de l’espace post-soviétique

Arthur Clech (CERCEC, EHESS)

 

Inscription : seminaireducedref@gmail.com

 

Lieu >
Bâtiment Olympe de Gouges, Salle 165 - les lundi de 16h à 18h
Mots clés >